Sans papiers : les camps de la honte
Comme vous le savez la France n’est plus une terre d’accueil, mais est-elle encore le pays des droits de l'Homme ?
Tentatives de suicide, automutilation, incendies, grèves de la faim, voici plusieurs actes qui traduisent le désespoir des milliers de personnes victimes de la politique du chiffre de Nicolas Sarkozy.
Des conditions de détention dégradantes, des mauvais
traitements systématiques. Les sans papiers sont entassés dans les centres
de rétention et les forces de police semblent débordés, ne maitrisant plus tout à fais la situation.
Le 11 février dernier 60 policiers ont mener une
opération musclé pour forcer les sans papiers révoltés a regagner leur chambres,
opération entrainant l’hospitalisation de deux personnes dont un homme évacuer
aux urgences après s’être fait tirer dessus au Taser, des chambres ont été
incendié plus tard dans la nuit.
Les camps de rétention sont tenus au secret, ou presque : la Cimade est la seule association habilitée à y entrer, elle constate des surenchères d’insultes racistes et d’exactions physiques envers les détenus sans papiers, qui sont pour beaucoup parquer depuis plusieurs mois.
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Napo_l
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